Nettoyage... ou pas? (Libre)

J'avais reçu des rapport de beaucoup de mes hommes a propos d'un gros détachement d'humain qui faisait beaucoup de grabuge... si l'on voulait, j'ai alors du me déplacer, car ils n'avaient beaucoup de route a faire dans les bois...nos bois et sans trop de respect, couper les arbre et de la sur-chasse d'espèce rare ou menacer, je pris alors mon équipement, mes deux épées, mon bâton et... rien d'autre, je pourrais leur réglé leur conte sans trop d'aide, les éclaireur les suivait et m'envoyait des message via des co-équipier, je leur avait pas donné l'ordre de les attaquer, je voulais le faire moi-même, car ils avaient déjà reçu l'ordre d'arrêter, mais aucun compromis n'a été pris de leur coté. Je les pisté avec une grande précision avec l'aide de mon voyage astral, vers le nord... je pris mes épée et avenca vers le détachement de 10 humains et leur donna un dernier avertissement:

-Pourriez-vous ne pas détruire cette nature qui nous habite?

Le chef des mercenaire me ria alors au nez en regardant mes armes, il prit la sienne, beaucoup plus grosse et me dit:

-si toi et tes cure-dent se mêtent en travers de notre route, elle va te traverser le corps, compris? on a une mission a remplir pour une bonne prime, alors au diable les elfes noir.


Je fis mine de partir la tête basse, mais je ne les laissera pas s'en tirer ainsi, durant la nuit, ils auront une petite visite..... ou plutôt une grosse visite. j'attendis le moment opportun et commença a incanter, tout près de leur camp, sans être a porter de voix et anima deux chaîne d'une très bonne taille et alla vers les humain a nouveau arme dégainée, toujours en subtilité, mais l'un d'eux remarqua ma présence, les Ent étaient là et prêt a intervenir en cas de problème, des allier respectable en cas d’embuscade, ils devaient quitté cette forêt par la fuite ou les pieds devant.. Il sonna l'alerte, il avait réussit le cours 101 des mercenaire de nuit: rester alerte puis les deux Ent chargea vers les humains en plein réveil puis je disent plantant mon épée dans le corps de l'un d'eux:

-Quitté cette forêt immédiatement, que les forces de la natures déferlent sur vous pauvre fous que vous êtes!

Je sourie lentement en ajustant robe blanche et noire que je portais en tout temps. Je sourie lentement à un jeune homme que je venais de rencontré. Nous étions couché dans l'herbe et je lui souriais lentement alors qu'il fixait mes formes d'un regard avide. Oui, j'ai m'amuser un peu avec lui, il allait ce rappeler de moi très longtemps. Alors que je posa mes lèvres sur les siennes en me blottissant contre lui, un frisson me parcourue. Je sentais quelques choses.... de la peur?

J'arrêta mon geste et regarda le ciel. Je devais y aller, mais j'aurais aimer continuer mon jeu encore un peu au moins... Seulement le devoir avant le plaisir. Je me releva et replaça à nouveau ma robe en souriant doucement au jeune homme.

Je vais revenir, attend moi mon beau....

Je pris mon envole et survola pendant quelques minutes. la forêt qui nous entourais. Je savais quelques choses n'allais pas, mais je ne savais pas encore quoi. Puis je vis les arbres... bouger. Je n'arrivais pas à y croire, mais je n'avais pas l'intention d'intervenir, voila tout. J'allais parler au vainqueur... enfin au survivant.

Les mercenaires n'étaient pas du tout prêt a affronter des ents, des créatures majestueuse et beaucoup plus fort que le commun des mortels, surtout si ceux-ci venait tout juste de se réveiller, même si ils étaient tous équiper, ils avait été fatigué par les voyages et les nombreuse chasses de la veille, bien amusant mais pas sage, surtout sachant que les elfes noir était d'ardant défenseure de la nature et eux... ils la troublaient, les ents tuait ceux qui avait été trop lent au réveille, simplement en les piétinants , vue leur poids, les humains ne souffrait pas bien longtemps.

Pandant que le détachement d'humains qui portait les couleurs de Sudrélia s'éfforcait a faire tomber les ents avec la force de leur armes, je réussis a me faire oublier un peu, je redevins subtile... a peu près et alla derrière leur troupe pour les assommés du plus reculé jusqu'au plus avancé, je n'étais pas gêner d'enlever des vie, mais je ne voulais pas le faire intentionnellement non plus, même si c'est un peu la prison a vie qui les attendaient chez-nous, c'est bien tout ce qu'ils méritent pour troubler la paix qui règne en ses lieux. Une foi les corps mort ou assommé par terre, je m'empressa d'assomé leur chefs qui était le dernier debout, un homme d'une robustesse remarquable, le coup derrière sa tête ne suffit même pas, il s'était retourner vers moi... pour recevoir un coup d'un autre calibre derrière la tête, il tomba par terre comme une pierre, mais celui-ci était encore vivent, je m'empressa de tous les désarmer et d'appeler les renfort pour les amener... sauf leur chef, j'avais mes propre question pour lui et mes propre méthode interrogatoire, j'allais le briser, le posséder puis aller chercher moi-même ce que je voulais, tout dépendant sa force, cela pourrait s'avérer très long... je devrais alors m'y mettre, je le dépouilla de sa fortune, tel était sa raison de vivre, non? nous lui en priverons. Je voulais savoir pourquoi Sudrélia embauchait des mercenaires, un manque d'effectif? ou simplement qu'ils n'avaient aucun réel intérêt pour cette mission, ou encore, ils ne voulaient pas perdre d'effectif... mais pourquoi une prime intéressante alors?

J'examinait les alentour après avoir ligoter le mercenaire comme un saucisson puis y vie une ange-gardienne, ses créatures étaient rare et ne fréquentait pas très souvent la région... Mais, ils n'étaient pas ennemie, alors je me fichais un peu d'elle, sauf si elle attaque un arbre sans raison ou un animal. Mes ent étaient encore là pour un bout... il faut maintenant que je fasse quelque chose d'eux... rester ici avec moi serait pas mal au cas ou ce clampin a encore des troupes dissimuler ou a faire d'autre tâche... bref, avec lui comme otage, je pourrais les faire se rendre aisément. J'alimenta le feu de camp et attendit que ce gros crétin se réveille ou qu'il se passe quelque chose. Il se réveilla enfin et je lui fit un salut qui aurait pu paraître hautin avec un sourire presque innocent, celui-ci grogna mais retint son commentaire, on ne partait pas de trop loin si il acceptait les insultes...